taux d'extraction de pétrole industriel et commercial à Kinshasa
                                               
                                               
                                               
  • Comment le publique a-t-il été fondé à Kinshasa ?
  • ce publique fut fondé à Kinshasa. On y don-nait pendant dix-huit mois, une formation militaire à des recrues en provenance de la région équato iale et de l’Afrique occidentale. Plu-sieurs baobabs qui ornaient jadis le village de Kinshasa furent abattus à la dynamite, permettant ainsi le tracé de l’avenue du camp militaire qui deviendra p
  • Quel est le taux d’activité de Kinshasa?
  • Le taux d’activité de Kinshasa (42,3%) est faible par rapport à la moyenne nationale (60,2%). Ceci s’explique entre autres par une plus faible insertion des enfants sur le marché du travail. En effet, le taux d’activité des enfants de 10 à 14 ans y est de 1,8% contre 9% pour la RDC.
  • Quels sont les produits agricoles de la province de Kinshasa?
  • Ainsi, aucun produit agricole ne caractérise cette province qui est alimentée en produits agricoles provenant du Bas Congo, du Bandundu et de l’Equateur. L’hydrographie de la province de Kinshasa comprend le fleuve Congo, des rivières qui s’y jettent et des lacs de faibles étendues.
  • Combien de tonnes sont produites par jour à Kinshasa ?
  • « Neuf mille tonnes sont produites par jour. Et on en enlève moins de 10 % », déplore Germain Mpundu, coordinateur du projet communal Kin Bopeto, du lingala – langue la plus parlée dans l’ouest du pays – qui signifie « Kinshasa propre ».
  • Quel est l’indice de la consommation à Kinshasa?
  • Ces écarts montrent qu’il y a une inégalité à Kinshasa, comme le confirme l’indice de Gini de la consommation (0,38) et surtout la comparaison de la part de consommation des ménages du quartile le plus pauvre dans la consommation à celle du quartile le plus riche (voir graphique 4).
  • Où se trouvent les décharges sauvages de Kinshasa ?
  • Le quartier Saio abrite l’une des nombreuses décharges sauvages de Kinshasa, où s’amoncellent les déchets en tout genre. Au sommet de la colline d’immondices, une vingtaine de personnes c?toient des hérons blancs, charognards qui se nourrissent des ordures de la capitale de la République démocratique du Congo (RDC).