Les Comores travaillent depuis longtemps sur une machine à huile de cuisson
                                               
                                               
                                               
  • Quels sont les meilleurs produits d’huile ?
  • Vers quelles entreprises ? RLHEC : Les meilleures qualités d’huile comme l’extra-sup et l’extra sont destinées à la parfumerie, à titre d’exemple à la préparation de l’eau de toilette. Et nos clients sont en Europe et aux Etats-Unis. Et les basses qualités sont destinées à la fabrication des lessives et des produits bas de gamme en cosmétique.
  • Est-ce que les Comores sont autosuffisants ?
  • Le pays n'est pas autosuffisant sur le plan alimentaire. L'union des Comores vit partiellement des envois d'argent de sa diaspora, qui constituent 25 % du PIB : plus de Comoriens vivent sur le territoire français que sur le territoire comorien, notamment à Mayotte, la Réunion et Marseille.
  • Est-ce que les Comores sont un fournisseur d’ylang ?
  • RLHEC : Les Comores resteront un fournisseur d’ylang. On ne peut pas mettre plus de valeur à l’ylang comorien. On n’utilise pas l’ylang pour faire du parfum. Un parfum a une quantité variable d’alcool. Et dans l’essence d’ylang il y a plus de 50 produits différents. Ce n’est pas jouable.
  • Quels sont les avantages des Comores ?
  • Les Comores sont aussi un important pavillon de complaisance, acceptant d'immatriculer des navires étrangers sans aucune réglementation (sanitaire, sécuritaire ou de droit du travail) et pouvant servir ensuite à la pêche illégale ou à divers trafics clandestins 43.
  • Pourquoi les clients ont-ils réduit leurs commandes de l’ylang aux Comores ?
  • Les clients ont réduit leurs commandes. Pour ce qui est du marché de l’ylang aux Comores, il faut savoir que de 1983 à 2008, il est passé de 150 tonnes par an à 80 tonnes par an. D’où une baisse de 50%. Mayotte, qui était un grand fournisseur, a représenté la moitié de cette baisse.
  • Qui est le fils du président des Comores ?
  • Et selon l'enquête (2021) de l'ICIJ basée sur les Pandora Papers, Nour El Fath Azali (fils du président des Comores) s'est établi à Moroni en 2018 après s'être formé dans une école de commerce américaine, puis avoir été auditeur financier dans une banque.